mercredi 9 décembre 2015

Alain Jabes

Alain Jabes
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Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

Mercredi 9 Décembre 2015
Mon cher Alain JABES,
Suite à la sortie intempestive de ta part, concernant mes incendiaires écrits contre ces terroristes Musulmans, assoiffés de terreur et de sang, dont « tu sembles glorifier… » je te dirai en toute franchise à savoir : (Je savais depuis longtemps que tu étais un emballage de charbon, mais j’étais loin d’imaginer que tu puisses dégager autant de poussière…)
Tes commentaires, dépourvus d’arrangement syntaxique et bourrés de vilaines fautes d’orthographe, suffisent à situer le maigre niveau intellectuel dans lequel tu piaffes, avec des écrits sans queue ni tête, comme ceux d’un écolier de cours élémentaire…
Je comprends mieux maintenant, pourquoi ceux qui sont proches de toi te prennent pour une marionnette, un pedzouille, voire un imbécile tout simplement. Eh, je me garde bien d’en dire plus, hélas pour toi [!!!]
En ce qui concerne la France, elle est notre Patrie qu’on le veuille ou non. La Guadeloupe est française depuis 1635 (…) Mon grand-père et ma grand- mère étaient français ; mon père et ma mère le furent également. Moi aussi, je suis Français depuis 81 ans, le 2 Novembre 1934. Si d’aventure ma belle Guadeloupe accède à la souveraineté un jour (avant ma mort), je serais heureux et fier. Quand tu te permets de me dire : « d’arrêter de faire l’apologie de la France, mon pays… », dans mes incendiaires écrits, contre ces terroristes Musulmans qui nous assassinent, je constate que tu nages vraiment dans les eaux nauséabondes des caniveaux.
Poète et écrivain comme j’ai la chance de l’être modestement, j’ai beaucoup de poèmes et d’écrits incendiaires contre l’Esclavage, les esclavagistes et ses conséquences malheureuses sur le monde Noir dont nous appartenons. Néanmoins, j’essaie de faire table rase de cette triste période et ne pas être en rupture de ban, comme toi, avec ma patrie, malgré tout, qui est : la France. Ainsi, je n’ai aucune leçon d’histoire à recevoir d’un ignare comme toi (…)
En conclusion, je te le dis une fois encore : tu t’es acharné à faire un parallèle dans les attentats des terroristes à Paris et d’ailleurs, tuant d’innocentes personnes, avec moi qui ai flanqué une balle de carabine à un huissier véreux de justice. Et ce, juste pour le plaisir de me blesser et de me salir. Que tu le saches une fois pour toutes : si je regrette l’acte qui me transforma et justicier contre ce voleur d’huissier de justice et d’autres, je n’ai aucune honte dans cet acte (regrettable) dont je fus une victime, moi-aussi, à cause de ces voleurs de tous poils…) J’ai enduré onze années de souffrances carcérales à cause de ces voyous en cols blancs, mais avec la tête haute. En effet, ce n’était ni pour viol, ni pour vol, ni pour braquage, ni pour d’actes de pédophile et d’inceste, comme c’est le cas de beaucoup d’entre vous dans l’ombre de la nuit ; [pas vu, pas pris …] Je n’incite personne à suivre mon exemple. Même avec des raisons en béton comme ce fut mon cas (car les trois quarts de la dette réclamée étaient déjà payés…), de tels actes génèrent trop de souffrances de famille de part et d’autre. Le prix à payer est vraiment trop cher, pour faire valoir ses Droits en justicier […] Et, bien entendu, nous savons tous que « nul n’a le droit de se faire justice soi-même… » Dont acte.
Je ne te dis pas adieu ; cela se comprend, n’est-ce pas ?
Le Poète-Artiste (devant l’Eternel)
Prince de SAINT-ALBY 1er
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9 décembre 2015 à 03:53

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