Je t'invite à lire attentivement le poème ci-dessous et, je suis persuadé que tu auras une autre opinion sur ma personne toujours stigmatisée, par ce drame « regrettable » , initié par des voleurs et des voyous de tous poils en col blanc, dont tous mes compatriotes guadeloupéens connaissent les tenants et les aboutissants et dans lequel, je fus « la première victime ! » Sinon, on retrouvera au ciel pour le (Jugement dernier.)
Mes amicales salutations et à très bientôt !!!
Le Drame
Poème No : 145-02 du 17 Janvier 1992.
Quatorze jours d’hôpital,seize de prison , Voilà le triste et premier mensuel du Drame. Je peine en une cage servant de maison , Où souffrance et promiscuité brisent l’âme.
Des fripouilles de toutes sortes m’ont perdu ; Me poussant dans mes « droits » à l’extrême démence ; Alors qu’un bel avenir m’était attendu Par ma poésie et mes textes de romance .
Dix-huit « lits » de mille ans ,crasseux, superposés, Sont les seuls décors de ma piteuse cellule . Je côtoie avec horreur , des perversités Aggravantes, d’un monde infâme qui pullule .
Ce minable centre de « Stabulation » , Sert de pâture aux « Fins Robins » de toutes sortes , Seigneurs et maîtres de triste exécution ; Leur victime est à point , en franchissant les portes.
L’Attitude souple des gardiens me surprend : Je les voyais arme aux poings, sans aucun sourire ;; Mais, force est de les voir d’un œil bien différent ; Ils sont plutôt gentils et savent même rire !
La geôle, est un véritable « Enfer Ici-bas » ; Certains sujets trouvent ,hélas ! à s’y complaire ; Moi, j’aimerais gommer les traces de mes pas Dans ce milieu lugubre et d’un rude calvaire .
Mais, l’encre indélébile à la réalité , M’interdit, sans nul doute à jamais, toute attente. Le bon droit, certe, en gardera ma dignité , Pour y sortir en victime encor reluisante .
La société véreuse , pousse aux excès : La délinquance en col blanc , maître des séances , Piétine des honnêtes gens, jusqu’au décès ; Et le drame arrive en cortège de souffrances .
La justice, est-elle ennemie à la raison , Pour démolir un homme en ses « Droits légitimes ? » Circonstances atténuantes à foison , M’extirperez-vous de ces ignobles abîmes ?
1 commentaire:
Jeudi 14 Juillet 2011
Très chère Négresse
Je t'invite à lire attentivement le poème ci-dessous et, je suis persuadé que tu auras une autre
opinion sur ma personne toujours stigmatisée, par ce drame « regrettable » , initié par des
voleurs et des voyous de tous poils en col blanc, dont tous mes compatriotes guadeloupéens
connaissent les tenants et les aboutissants et dans lequel, je fus « la première victime ! »
Sinon, on retrouvera au ciel pour le (Jugement dernier.)
Mes amicales salutations et à très bientôt !!!
Le Drame
Poème No : 145-02 du 17 Janvier 1992.
Quatorze jours d’hôpital,seize de prison ,
Voilà le triste et premier mensuel du Drame.
Je peine en une cage servant de maison ,
Où souffrance et promiscuité brisent l’âme.
Des fripouilles de toutes sortes m’ont perdu ;
Me poussant dans mes « droits » à l’extrême démence ;
Alors qu’un bel avenir m’était attendu
Par ma poésie et mes textes de romance .
Dix-huit « lits » de mille ans ,crasseux, superposés,
Sont les seuls décors de ma piteuse cellule .
Je côtoie avec horreur , des perversités
Aggravantes, d’un monde infâme qui pullule .
Ce minable centre de « Stabulation » ,
Sert de pâture aux « Fins Robins » de toutes sortes ,
Seigneurs et maîtres de triste exécution ;
Leur victime est à point , en franchissant les portes.
L’Attitude souple des gardiens me surprend :
Je les voyais arme aux poings, sans aucun sourire ;;
Mais, force est de les voir d’un œil bien différent ;
Ils sont plutôt gentils et savent même rire !
La geôle, est un véritable « Enfer Ici-bas » ;
Certains sujets trouvent ,hélas ! à s’y complaire ;
Moi, j’aimerais gommer les traces de mes pas
Dans ce milieu lugubre et d’un rude calvaire .
Mais, l’encre indélébile à la réalité ,
M’interdit, sans nul doute à jamais, toute attente.
Le bon droit, certe, en gardera ma dignité ,
Pour y sortir en victime encor reluisante .
La société véreuse , pousse aux excès :
La délinquance en col blanc , maître des séances ,
Piétine des honnêtes gens, jusqu’au décès ;
Et le drame arrive en cortège de souffrances .
La justice, est-elle ennemie à la raison ,
Pour démolir un homme en ses « Droits légitimes ? »
Circonstances atténuantes à foison ,
M’extirperez-vous de ces ignobles abîmes ?
Le Poète-Artiste
Prince de SAINT-ALBY 1er
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