Pour mon entrée et ma participation à ce Club portant cette précieuse appellation de :" Vérités au pluriel", il me plaît assez de dédier vous tous, ma belle prose ci-dessous intitulée : " VERITE ", tirée de mon recueil au titre : " Les Succulentes Proses du Prince (...) de moi-même.
Mes salutations poétiques et générationneles à vous tous et à très bientôt !!!
VERITE ="="="="=
Ô vérité, pourquoi me délaisses-tu ? Je chemine dans le noir cette foule débordante D’hommes ténébreux qui ne savent qui es-tu.
Ô vérité, tire moi des méandres de l’erreur, Où, fourberie et tricherie sont abondantes Et n’engendrent que des actes de terreur.
Ô vérité, puis-je voir tes sentiers de lumière, Où je pourrai boire aux belles sources de l’honneur Et me restaurer dans ta chaudière ?
Ô vérité, habille moi de ton élégance, Pour démolir le style de celui qui ment Et être exempt de toute manigance.
Ô vérité, je veux de toi constamment, Pour t’adorer toujours comme une sainte Et te glorifier abondamment.
Ô vérité, dans ma courte vie, ici-bas, Marque mes derniers pas de tes empreintes, Pour que je parte serein dans l’au-delà.
Prose No 4 du Mardi 21 janvier 1986 à 6 h Le Poète-Artiste
1 commentaire:
Jeudi 23 Juin 2011
Chère amie, Marie-Luce,
Pour mon entrée et ma participation à ce Club portant cette précieuse appellation
de :" Vérités au pluriel", il me plaît assez de dédier vous tous, ma belle prose ci-dessous intitulée : " VERITE ", tirée de mon recueil au titre : " Les Succulentes Proses du Prince (...) de moi-même.
Mes salutations poétiques et générationneles à vous tous et à très bientôt !!!
VERITE
="="="="=
Ô vérité, pourquoi me délaisses-tu ?
Je chemine dans le noir cette foule débordante
D’hommes ténébreux qui ne savent qui es-tu.
Ô vérité, tire moi des méandres de l’erreur,
Où, fourberie et tricherie sont abondantes
Et n’engendrent que des actes de terreur.
Ô vérité, puis-je voir tes sentiers de lumière,
Où je pourrai boire aux belles sources de l’honneur
Et me restaurer dans ta chaudière ?
Ô vérité, habille moi de ton élégance,
Pour démolir le style de celui qui ment
Et être exempt de toute manigance.
Ô vérité, je veux de toi constamment,
Pour t’adorer toujours comme une sainte
Et te glorifier abondamment.
Ô vérité, dans ma courte vie, ici-bas,
Marque mes derniers pas de tes empreintes,
Pour que je parte serein dans l’au-delà.
Prose No 4 du
Mardi 21 janvier 1986 à 6 h
Le Poète-Artiste
Prince de SAINT-ALBY 1er
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