Jeudi 30 Juin 2011 Mon jeune ami Michel GIRDARY, Je suis ravis que tu aies commenté mes écrits, sur cette heureuse libération de nos deux otages des ravisseurs afghans. J'apprécie ta lumineuse connaissance tant soit peu « Géopolitique », néanmoins, on appelle un chat, un chat et ni plus, ni moins. Dans ce modeste commentaire à chaud, exprimant la joie, le soulagement d'un dénouement heureux (sans qu'il y eût mort d'homme, comme ce fut souvent le cas avec ces islamistes sanguinaires), le moment est mal choisi pour aller au fond des choses. Tes écrits soulignent tout simplement, des sentiments d'un « Leader politique révolutionnaire dont je n'ai point le costume ! » En conclusion, je te dirai juste ceci mon ami : après avoir été embastillé durant plus de onze années, pour la mort d'un huissier véreux de justice, d'un cabinet de voleurs et voyous en col blanc, dont toi-même et tous mes compatriotes guadeloupéens et de l'hexagone connaissent bien, les tenants et les aboutissants de cette triste affaire dans laquelle je fus « la première victime », ne me demande pas d'être tendre avec ceux qui font subir le supplice de l'emprisonnement (injustement), à qui que ce soit ! Dont acte. Mes amicales salutations à toi et à tous ceux qui me lisent et à très bientôt !!!
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Jeudi 30 Juin 2011
Mon jeune ami Michel GIRDARY,
Je suis ravis que tu aies commenté mes écrits, sur cette heureuse libération de nos deux otages des
ravisseurs afghans. J'apprécie ta lumineuse connaissance tant soit peu « Géopolitique », néanmoins,
on appelle un chat, un chat et ni plus, ni moins. Dans ce modeste commentaire à chaud, exprimant
la joie, le soulagement d'un dénouement heureux (sans qu'il y eût mort d'homme, comme ce fut
souvent le cas avec ces islamistes sanguinaires), le moment est mal choisi pour aller au fond des choses. Tes écrits soulignent tout simplement, des sentiments d'un « Leader politique révolutionnaire dont je n'ai point le costume ! »
En conclusion, je te dirai juste ceci mon ami : après avoir été embastillé durant plus de onze années, pour la mort d'un huissier véreux de justice, d'un cabinet de voleurs et voyous en col blanc, dont
toi-même et tous mes compatriotes guadeloupéens et de l'hexagone connaissent bien, les tenants et les aboutissants de cette triste affaire dans laquelle je fus « la première victime », ne me demande
pas d'être tendre avec ceux qui font subir le supplice de l'emprisonnement (injustement), à qui que
ce soit ! Dont acte.
Mes amicales salutations à toi et à tous ceux qui me lisent et à très bientôt !!!
Le Poète-Artiste
Prince de SAINT-ALBY 1er
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