Voici l’Arachnide qui imprègne mon signe du Bonheur, de Victoire et de Gloire :
LE SCORPION EN PROSE !!!
Scorpion, mon beau signe zodiacal Le dieu soleil, donne l’énergie à tes membres Du vingt trois octobre au vingt deux novembre Et tu en dardes sur tes sujets en général.
Tu es la constellation du huitième rang Qui brille entre Balance et Sagittaire Et me déverse les forces téméraires Pour conjurer tous les méfaits du néant.
Tu disposes d’une force imperturbable Par tes pinces coupantes, d’une grande frayeur Et l’arme de ta queue, qui cause beaucoup de douleur Ce qui fige tes ennemis à distance respectable.
La plupart des grands hommes de génie du monde Comme DE GAULLE, Louis XIV et Napoléon Sont des sujets tamponnés, Scorpion Ils cassent tout, pour refaire un monde où tout abonde.
Je t’admire dans ton beau costume noir Et te dis de tout cœur mes louanges Du Paradis où tu brilles près des Anges Dispense-moi ton dard, pour tout pouvoir.
Ô génie de mes rêves scorpionnesques Concrétise mes belles hallucinations Par Antarès et autres étoiles du scorpion Et je serai l’hôte de nymphes aux eaux romanesques ! Prose N° 38 du Mardi 11 Novembre 1986 à 14 h 40 Santé et puissance de l’esprit ! Le Poète-Artiste (devant l’Eternel)
1 commentaire:
Samedi 23 Novembre 2013
Voici l’Arachnide qui imprègne mon signe du Bonheur, de Victoire et de Gloire :
LE SCORPION EN PROSE !!!
Scorpion, mon beau signe zodiacal
Le dieu soleil, donne l’énergie à tes membres
Du vingt trois octobre au vingt deux novembre
Et tu en dardes sur tes sujets en général.
Tu es la constellation du huitième rang
Qui brille entre Balance et Sagittaire
Et me déverse les forces téméraires
Pour conjurer tous les méfaits du néant.
Tu disposes d’une force imperturbable
Par tes pinces coupantes, d’une grande frayeur
Et l’arme de ta queue, qui cause beaucoup de douleur
Ce qui fige tes ennemis à distance respectable.
La plupart des grands hommes de génie du monde
Comme DE GAULLE, Louis XIV et Napoléon
Sont des sujets tamponnés, Scorpion
Ils cassent tout, pour refaire un monde où tout abonde.
Je t’admire dans ton beau costume noir
Et te dis de tout cœur mes louanges
Du Paradis où tu brilles près des Anges
Dispense-moi ton dard, pour tout pouvoir.
Ô génie de mes rêves scorpionnesques
Concrétise mes belles hallucinations
Par Antarès et autres étoiles du scorpion
Et je serai l’hôte de nymphes aux eaux romanesques !
Prose N° 38 du
Mardi 11 Novembre 1986 à 14 h 40
Santé et puissance de l’esprit !
Le Poète-Artiste (devant l’Eternel)
Prince de SAINT-ALBY 1er
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