mercredi 19 mars 2008


Posted by Picasa

12 commentaires:

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

princedestalby1er | 28 mars 2008
Vendredi 28 Mars 2008

Mes chers amis Artistes et de Culture,

J'ai omis de vous dire hier que, je suis le recordman de ( 7.200 )
flexions abdominales, non-stop, exploit réalisé le 2 Mai 2002, en
( 2 h. 59 M. et 3 Sec. ) au Budokan du Raizet, à mon " jeune âge "
de " 68 Noëls " . Qui dit mieux ? Moi seul !!!

J'attends toujours son homologation et sa parution dans le précieux
" Livre Guinness des Records " . Je relèverai n'importe quel défi de ce
genre de mes amis internautes ! J'ai une petite vidéo de ( 522 )
flexions réalisées le 28 Juin 2007, dont je cherche à inclure dans ce
message, mais sans succès pour le moment . Mes salutations artistiques et sportives et à très bientôt !!! Prince de SAINT-ALBY 1er

princedestalby1er | 27 mars 2008
Jeudi 27 Mars 2008

Mes chers amis Artistes et de Culture,

Je suis un modeste ( Poète-Artiste-Guitariste-Ecrivain ) . J'ai sorti en
1988, un Maxi 45 Tours dénommé : Révélation Artistique de 1988 ,
portant trois titres : " Cynisme d'Agents des PTT, Ma bicyclette c'est ma
femme préférée et La Guadeloupe cé on Paradis " .

J'ai sorti en Décembre 2003, un recueil de proses intitulé : " Les
Succulentes Proses du Prince de SAINT-ALBY 1er " .

Je travaille en ce moment, sur deux recueils de Poésie, un ouvrage
autobiographique et un Album de musique de six à dix titres . La
collaboration de tous mes Pairs de la Culture, serait pour moi et pour
nous tous, une aubaine extraordinaire . Salut à vous tous et à très bientôt !!! Prince de SAINT-ALBY 1er

HobeeLuv | 12 septembre 2007
Thanks so much for the sub, PEACE and HobeeLuv
Ajouter un commentaire

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

Vendredi 4 Avril 2008

Il me plaît assez d'offrir mon Poème
ci-dessous à mes amis internautes,
pour leur donner du dynamisme, dans
toutes les phases de leur existence.

« Le Pouvoir Sportif Divin. »
Poème No 145-089
Du Mercredi 10 Novembre 1999.

Le Tout-Puissant récompense les hommes forts
Qui se donnent à l’extrême dans leurs efforts,
Pour atteindre la gloire.
Le Pouvoir exceptionnel du Saint-Esprit,
Propulse ses adeptes au sommet prescrit,
Pour cueillir la victoire.

La Puissance extraordinaire de la croix
Glorieuse, fait bien revivre notre voix,
Dans une vie heureuse :
Triomphant miraculeusement de la mort,
Le Rédempteur Jésus, nous servit de support ;
L’âme est victorieuse.

Mère de Notre Sauveur et la nôtre aussi,
La Sainte Vierge, fait que tout me réussi,
En grimpant sur l’échelle.
Saint-Joseph et tous les autres canonisés,
Dispensent aux travailleurs et sportifs osés,
L’ascendance éternelle.

Les Archanges, Michel, Gabriel, Raphaël,
Grands messagers plénipotentiaires du ciel,
Intercèdent sans faille,
Auprès du Maître siégeant du plus haut des toits,
En faveur d’hommes valeureux dans leurs exploits,
Pour gagner leur bataille.

Si les forces bienfaitrices de l’Univers,
Ne démolissent pas à jamais les travers,
Pour cette performance,
On ne peut franchir un tel cap d’abdominaux,
De deux mille cinq cents fléchissements si beaux,
Avec cette vaillance.

Louange au Père Eternel au plus haut des cieux !
Pour m’avoir fait gravir au sommet glorieux
De prouesses sportives !
Aucun obstacle ne m’arrête désormais,
Pour ma renommée universelle à jamais,
En forces positives.

Le Poéte-Artiste

Prince de SAINT-ALBY 1er
Saint-Michel Archange, défends-moi dans le combat

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

« Le Cerveau. »
Poème No 145-060
du Samedi 5 Août 1995.


Qu’el merveilleux organe de l’intelligence,
Qu’est le Cerveau de l’homme à la cime du corps !
Bibliothèque vivante à la connaissance,
Il irrigue nos méninges en bons apports.

Au sein de ce beau palais humain des neurones,
Résidant à plus de cinquante milliards,
Les cellules se meuvent comme des patronnes,
Par de fortifiants vaisseaux de toutes parts.

Au fief de l’esprit et de la matière grise ;
Dans les profondeurs du royaume cérébral,
Se combinent les forces du savoir en prise,
Pour informer de haut en bas l’être intégral.

Le siège de la mémoire et de la pensée
Qu’est le Cerveau dans toutes ses combinaisons,
Dispense à souhait, de façon rationnée
Aux autres membres, toutes ses décisions.

Moteur de nos facultés intellectuelles,
Le Cerveau régit en maître nos mouvements.
Les doigts du pied et leurs fibres ponctuelles,
Obéissent au roi, comme tous les segments.

L’intelligence n’ayant point de poids ni de taille,
Comment mesurer cette « Chose » du Cerveau ?
Les Neuropsychiatres ont pu trouver la faille,
Afin de ravir ses secrets jusqu’au berceau.

L’organe le plus complexe à l’espèce humaine,
Qu’est le Cerveau dans son habitacle princier,
Intrigue les érudits à quérir l’aubaine,
Pour le disséquer au faîte de son grenier.

Le Poète-Artiste

Prince de SAINT-ALBY 1er

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

HOMMAGES A MARTIN LUTHER KING



Le Pasteur, Martin LUTHER KING, est mort
Le quatre avril soixante huit en Géorgie
Sous les balles des racistes blancs qui lui donnaient tort
D’être noir, pacifiste, aimant sa Patrie.

Voilà encore une bavure et une grande honte
Pour toute la race blanche en général
Surtout pour les Yankees financièrement des pontes
Mais, sont de vrais sauvages privés de sens moral.

En supprimant cet homme de paix et de génie
Voué à l’intégration sociale des frères noirs
Les blancs racistes ont cru bannir pour la vie
Nos mouvements antiracistes et nos espoirs.

Les frères de couleur n’oublieront pas de sitôt
Ce leader d’une volonté courageuse
Et ses travaux de longues haleines et sans repos
Pour leur dignité, dans une existence heureuse.

Le nom de LUTHER KING restera bien gravé
Les siècles des siècles dans la mémoire
D’hommes dignes de ce nom, épris d’égalité
Envers toutes les races, qu’elles soient, jaune, blanche ou noire.

Les Yankees doivent bien mettre dans leur tête
Que l’odieux assassinat de notre frère KING
N’altérera pas son œuvre qui les rend bêtes
Et un frère digne la continuera sur le ring.

Que l’épouse très affligée de ce Grand Pasteur
Reçoive nos hommages et notre profonde sympathie
Pour lui permettre de surmonter sa grande douleur
Et ne pas se sentir seule dans cette péripétie.


Prose N° 12
Vendredi 30 mai 1986 à 10 h 30 Prince de SAINT-ALBY 1er

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

L’Esclavage Des Noirs,
Première Abolition.
Poème No 145-039
du Vendredi 4 Février 1994

Février mille sept cent quatre vingt quatorze
Au jour du quatre, première abolition,
Du triste Esclavage où la race noire explose
De joie, en brisant ses chaînes d’oppression.

Après des siècles dans l’ignoble servitude,
Le peuple Noir, eut recouvré sa liberté.
Un vent nouveau lui donna toute latitude
D’agir et, de s’épanouir dans la fierté.

Notre premier Député Noir, à l’Assemblée,
L’illustre bisaïeul, Jean-Baptiste BELLEY,
Fit plier les Blancs de cette époque troublée,
Pour notre affranchissement ; en digne Attorney.

L’autre illustre ancêtre, fier, Toussaint LOUVERTURE,
Le seize « Pluviôse An deux », républicain,
Fit signer l’abolition de la torture
Et nous sortit de l’état de bête à l’humain.

Mais, en l’An dix-huit cent deux, dans les Colonies,
L’indigne Joséphine, par Napoléon,
Fit rétablir l’Esclavage et ses avanies ;
Nous trahissant ainsi, comme un caméléon.

Le Poète-Artiste

Prince de SAINT-ALBY 1er

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

Prince de SAINT-ALBY 1er Les Abymes le,
Poète Artiste-Guit.Ecrivain Dimanche 26 Mars 2006
Anquetil II Escalier 6
Appartement 84
97139 LES ABYMES


Hospitalisation du Prince de SAINT-ALBY 1ER Dans la chambre N° 631

AU 6eme étage du C.H.U. de POINTE-À-PITRE (ABYMES).

Le Lundi 27 Mars 2006, dans la matinée, je dois subir une intervention chirurgicale au genou droit, par le sympathique chirurgien, A.P UZEL.

A mon arrivée, ce jour dit, dans ce service de « traumatologie », je fus accueilli par un personnel fort sympathique avec toutes les attentions dues à mon personnage.

Vers sept heures trente, ce lundi 27 Mars 2006, je fus « extrait » de ma chambre pour le bloc opératoire très immense et impressionnant.
Étant vêtu presque en tenue d’Adam et Ève, les brillants assistants du Docteur A.P. UZEL, s’accaparèrent de leur proie que je fus, avec « toutes griffes dehors », pour m’anesthésier au dessous de la ceinture pelvienne et procéder à une ostéotomie synoviale très douloureuse de la jambe droite..

Cette intervention a duré 1 h 19 minutes, c’est-à-dire de 8 h 59 à 10 h 18 minutes. Selon les dires de ce brillant praticien, l’opération fut un succès sur tous les plans. Et, j’en suis convaincu et très heureux de cette rectification d’ostéotomie synoviale droite.

Le soir venu, de ce lundi 27 mars 2006, les effets nocifs de l’anesthésie se mirent en évidence, et la médication servant de calmant fut « catastrophique » pour ma prostate.

Ayant encore la partie pelvienne semi paralysée, jusqu’à fort tard dans la nuit, les mictions furent très fréquentes et difficiles, avec la brûlure de la lave d’un volcan.
Une lueur m’est venue à la tête, m’indiquant que c’est le sérum calmant sous la forme de gouttes, qui n’est pas compatible à mes problèmes prostatites.

Alors, l’infirmière de service se prénommant Sonia, entra dans ma chambre et je lui fis part de mes cuisantes douleurs dues à cette médication certainement inadaptée à mon métabolisme fragilisé. Elle n’en voulut point entendre et comprendre les souffrances que j’endurais. Me voyant dans tous mes états déplorables, elle ne sut que m’apostropher, en me disant :
« Couchez-vous ! Restez tranquille ! Comme firent les matons et les gardes-chiourmes des Bagnes de Turquie, firent et font encore, à ce jour, à l’endroit de braves détenus politiques qui osèrent défier le pouvoir dictatorial turc.

Vers 11 h 30 à minuit, après avoir imploré le Saint-esprit de toutes mes forces, un ange bienfaiteur apparut dans ma chambre, en la personne de Mme Arlette HOURLIER, qui fit la garde de nuit en qualité d’infirmière. Je lui fis part de mes cuisantes douleurs et elle m’écouta religieusement et chercha à m’y apporter remèdes.

…/…
Je lui suggérai de changer ce « foutu sérum de malheur » par une solution dérivée de morphine, plus adéquate aux patients post-opératoire, souffrant de surcroît de problèmes prostatites. Elle disparut pour resurgir en moins de cinq minutes avec cette solution magique qui mit fin à mes cuisantes douleurs, en l’espace de cinq à quinze minutes.
Je n’ai pas manqué de la remercier et féliciter pour ses compétences professionnelles d’auxiliaires de santé.
La suite de ma nuit fut tranquille et calme, comme un bébé dormant au sein maternel.

Deux jours après cette merveilleuse intervention, c’est-à-dire le Mercredi 29, le Docteur m’annonça ma sortie de l’hôpital, le lendemain jeudi pour mon domicile.
Et le profane que je suis (dépourvu des tout esprit des mercantilisme et de profiteur) acquiesçai sans mot dire. Mais Dieu merci !

Ma très sympathique voisine de mon escalier 6 d’Anquetil 2, Mme Gervaise JALET, aide-soignante au troisième étage du CHU, me rendit visite ce mercredi 29 dans l’après-midi, en compagnie d’une de ses ravissantes collègues prénommée, Marie-Ange.
Quand elle apprit que je dois quitter l’hôpital le lendemain jeudi, elle fut stupéfaite et me demanda : « Qui s’occupera de toi dans l’état où tu es, au quatrième étage ? »

Me trouvant en face de l’évidence et dans l’ignorance totale d’un malade post-opératoire, je ne puis que demeurer coi. En conséquence, elle prit l’initiative d’interpeller les infirmières du service et autres, en leur demandant instamment, de me retenir une place dans un centre de convalescence adaptée, ayant des structures d soins post-opératoires pour les patients de mon cas. Sa divine demande fut entendue et une chambre m’a été retenue aux « Eaux-Marines » du Moule, pour le Mardi 4 avril prochain. Dieu soit loué ! Mon jeune amis frère Philippe BAVARDAY , qui était là,ce jour, contribua largement, lui aussi, par ses précieuses interventions pour m’obtenir cette place aux Eaux Marines. Bravo !

Moralité, pour ce qui est de mes douleurs post-opératoires, la médecine a fait beaucoup de progrès à nos jours, afin de faire taire les souffrances d’un malade quel qu’il soit, à tous les niveaux de son organisme.

Et tous les professionnels de santé : médecins, infirmiers, infirmières et autres, le savent bien, ou devraient le savoir pour être à l’écoute du malade et trouver la solution adéquate, de manière à empêcher la douleur de s’installer et devenir chronique.

Que les nombreuses « Sonia surannées » dans le monde en tirent bien la leçon !

Je reviens sur l’excellent accueil dont j’ai eu droit, à mon arrivée, le Dimanche 26 Mars 2006 vers 15 h 30 qui fut l’œuvre de la gentille et compétente Annie..x, secrétaire du Docteur A.P. UZEL, sans laquelle, il en serait peut être autrement.

Je fis la connaissance d’une certaine Sébastienne, Aide-soignante de son état, mais elle a dû se tromper de profession. Elle aurait été de préférence, une excellente comédienne, avec ses réparties et ses gestes naturels.
Qui sait ? Il n’est jamais trop tard pour bien faire !

Il y eût également, la très sympathique Catherine toujours souriante. Et ensuite, les Christelle, Elisabeth, Mary-Lyn et autres et surtout la gracieuse Margaret FERRAND (infirmière d’État) dont la lumière de ses beaux yeux irradiait toutes mes douleurs quand elle franchit le seuil de ma chambre sans oublier la charmante et aguichante Kinésithérapeute Nicole, avec ses lèvres sensuelles, ne laissant indifférent aucun mâle digne de ce nom (de mon espèce)

…/…
Vers mercredi 29 ou jeudi 30, je fis la connaissance de deux brillants médecins africains qui sont : Monsieur Martin MUKISI du Congo-Bazaville (Ex-Zaïr) de MOUBOUTOU SÉCÉ SEKO KOUKOU WAZABANGA et Monsieur OUEDRAOGO de BURKINA-FASSO(ex-Haute-Volta) du Général LAMIZANA.

Moi qui ai vécu 17 années dans le magnifique pays qu’est la (Côte d’Ivoire) du défunt Tonton Félix HOUPHOUËT-BOIGNY, surtout à Abidjan (la Capitale), je fus émerveillé de savoir que ces deux « sommités » de la médecine (d’origine africaine), exercent dans le plus grand complexe hospitalier de la Guadeloupe. Je leur souhaite d’immenses prouesses médicales dans mon pays !



Mes vifs remerciements à tous !





Prince de SAINT-ALBY 1er.

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

Les Merveilles Des Eaux Marines du Moule.
Poème No 255 du Mercredi 26 Avril 2006.

A la Clinique des Eaux Marines du Moule,
Etant assis sur le beau balcon du levant,
Je hume au matin, tôt, les embruns de la houle,
Drainés par les alizés comme un adjuvant.

Dès l’Aurore, les fastes de la Désirade,
Se mettent en éveil dans un panorama
De l’île enchanteresse que rien ne dégrade
Ses collines volcaniques, genre magma.

Le divin Soleil prend le relais vers sept heures ;
Ses rayons apaisent mon genou douloureux,
Par ses puissances curatives les meilleures
Et, j’en suis de toute évidence, bienheureux.

Lieu de villégiature par excellence,
Les Eoliennes de Port-Land en mouvement,
Produisent de l’énergie à forte puissance,
Pour alimenter tout le site environnant.

Poussant la vue aux limites horizontales,
On voit la beauté de la Pointe des Châteaux,
Bercée en force par des vagues en rafales
Et le merveilleux s’imprègne sur les coteaux.

Vers neuf heures à la kinésithérapie,
Les Duflo, Lollia, Hamo, Lydia et consorts,
Dans leur technique à museler la maladie,
Font naître un climat de joie et de réconforts.

Vers midi, dans une journée ensoleillée,
Léché par les chaudes langues du roi Soleil,
Toute ma douleur s’en trouve pulvérisée ;
J’en file des moments de bonheur sans pareil.

Les agents aides-soignants et les infirmières,
Dont Michel, Suzy, Micheline et Samuel,
Se mutent (sans conteste ) en anges de lumières,
Pour garder la douce atmosphère en ce beau ciel.

Sauf l’indigne impaire d’une certaine Eloïse,
Infirmière dressée aux hôtes du trépas,
Se trouvant « nulle » en face d’un « puissant Moïse
En esprit », et ne put s’exprimer qu’en faux-pas.

Quant aux Docteurs Jean-Jacques, Fanhan et les autres,
Quand bien même le petit « os » à mon sujet,
Le jour de mon arrivée, en ce beau lieu d’hôtes :
Par le temps, la science a produit son effet.

Cependant à l’accueil, les belles créatures,
Sont très avenantes et d’un facile abord :
La vamp gestionnaire, Chantal, maîtresse à bord,
Se sert de sa grâce pour nos « tristes natures. »

Le soir venu, j’entends chanter les bestioles
Et le roulement de la mer à l’unisson,
Berçant mes précieuses nuits en barcarolles,
Avec de beaux rêves emplis d’émotion.

Le Poète-Artiste

Prince de SAINT-ALBY 1er

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

Retour sans Fortune au Pays Natal,
pour en Hériter Un Trésor Culturel.
Poème No 115
du Dimanche 11 Novembre 1990
à 7 h. 45

Il fallut bien qu’il revint dans sa Guadeloupe,
Pour s’y retremper, délecter sa bonne soupe
Et prendre un trésor culturel.
C’est si vrai, d’auteur – compositeur- interprète,
Son bon génie au terroir en fit un Poète ;
Et cela parut naturel.

Le mal a du bien, au verso de sa médaille
C’est souvent, pour tous, une logique sans faille,
Et pour lui, c’en fut un gros lot.
Son pauvre retour : « Mains vides mais tête pleine »,
Lui permit lyriquement de tuer sa peine,
Par son intellect mis à flot.

Comme quoi, sa banqueroute professionnelle,
N’eut point altéré sa source intellectuelle
Qui l’immortalise ici-bas.
L’argent, ne fait point le bonheur à tout le monde :
Plongeant de brillants cerveaux dans son bain immonde,
Il les rend nuls jusqu’au trépas.

Ö bizarrerie et bienfaits de la nature !
Vous ramenez l’homme aux sources de sa culture,
Pour en faire un témoin du temps.
Vous êtes les Maîtres de toutes les Merveilles,
Auréolant vos élus de couleurs vermeilles,
Pour qu’ils deviennent méritants.


Le Poète-Artiste


Prince de SAINT-ALBY 1er

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

Mort ïambique aux Plagiaires.
Poème No 116
du Mardi 13 Novembre 1990
à 5 h. 50.

Que le Dieu Jupiter brise les plagiaires
Qui dénaturent nos ouvrages littéraires
Pour en faire indûment siens !
Ces minables individus que rien n’arrêtent,
Doivent affreusement sombrer dans la tempête
De leurs actes de vauriens.

Beaucoup d’auteurs ayant, hélas ! pignon sur rue,
Se sont bien alimentés par ce plat qui pue
Les manœuvres du plagiat.
Vraiment, l’humanité succombe sous leurs ruses :
Ils sont arrivés à faire pleurer nos Muses,
Par leurs faits de galapiat.

Même dans l’espace sain de la nourriture,
Ces virus « humains » pullulent en pourriture,
Pour vicier notre santé.
Notre belle technologie industrielle,
Souffre aussi de leur pratique démentielle
Qui la dévie en qualité.

Mort aux plagiaires et ceux de leur espèce !
Que leur méthode se flétrisse, se dépèce
Et disparaisse désormais !
Cela fait, le monde artistique et littéraire
Vivra pleinement de ses œuvres, sans faussaire,
En de vrais auteurs à jamais.

Que de joie et d’exaltation culturelle ;
Sentant vibrer ses fibres intellectuelles !
On se croit au sommet de l’Art.
L’application est prodigue en récompense :
Elle fait trouver le bon circuit qui dispense
Un trésor culturel à part.

Le Poète-Artiste


Prince de SAINT-ALBY 1er

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

Quatre Vrais Saints :
Vivants et Morts devant Dieu.
Poème No 118
du Vendredi 23 Novembre 1990.

Le bon Pape Jean-Paul deux, par ses actions
Pastorales, ses missions Apostoliques,
Fait naître dans les cœurs beaucoup d’affections,
Amoindrissant des tendances trop diaboliques.

Il est pour nous, sur la terre, le Saint vivant :
Ses paroles ont fait chuter des dictatures,
Comme sa belle Pologne a souffert, avant
Qu’il eût fait WALSA démolir les tortures.

Mikhaïl GORBATCHEV, le grand saint de Moscou,
Par sa « Perestroïka » forte et lumineuse,
Brise en Allemagne, le « Mur » du casse-cou
Et change notre monde en une vie heureuse.

Il ne saurait être qu’un instrument de Dieu,
Bénéficiant bien de toute sa sagesse,
Pour faire venir la Paix sans notre milieu,
Facteur de réjouissances et de richesse.

Le bon ABBE Pierre à soixante dix huit ans,
Consacre encor sa vie aux hommes en disgrâce,
Leur permettant de survivre en ces contretemps
Et de trouver un petit coin de notre espace.

Il est, sûrement, un prêtre hors du commun :
Investi d’une grande mission Divine,
Pour faire cesser les souffrances de chacun,
Dans ce monde où tout dérive et tout s’extermine.

Coluche, notre bel « Enfoiré » disparu,
Créa les (Restaurants du cœur), aux sans ressources,
Qui les dispensent un repas de bon menu,
Sans desserrer le cordon de leurs frêles bourses.

Ce bel élan du cœur mû par l’acte Divin,
Fait appel à toutes les classes sociales,
Pour œuvrer en charité sur leur chemin,
Qu’importent leurs instructions, ni leurs étoiles.

L’Eglise saura les mettre au nombre des Saints :
Jean-Paul deux, Gorbatchev, l’Abbé Pierre et Coluche ;
Pour leurs dévouements sacrés aux peuples astreints
Et privés même d’un maigre plat de merluche.

Le Poète-Artiste

Prince de SAINT-ALBY 1er

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

Le Prince de SAINT-ALBY 1er, dans toute sa « Majesté » avec sa superbe Guitare,
lors de la sortie de son premier Album titré : « Révélation Artistique de 1988 »avec trois titres : « Ma bicyclette c’est ma femme préférée, Cynisme d’Agents des PTT et
La Guadeloupe cè on Paradis . »















Ma Guitare : Une Femme Douce et Fidèle.
Poème No 123
du Mardi 25 Décembre 1990
à 8 h. 35.

Quand je caresse les cordes de ma Guitare,
Je ressens dans mes mains, comme de beaux cheveux,
D’une femme sensuelle qui m’accapare,
Faisant de moi, l’homme ici-bas le plus heureux.

Une belle tête aux nattes bien chevillées
Qui permettent un accord au diapason,
Pour glisser vers ses notes tendres et feutrées,
Afin de « ouïr » sa résonance à foison.

Ma douce Guitare est une nymphe allumeuse.
Modelée avec un cou long et captivant ;
Ayant sa caisse en poitrine voluptueuse,
Elle induit une bonne harmonie en chantant.

Quant à ses lignes à la ceinture pelvienne,
Bien au contact de mes cuisses et de mon corps,
Elles font jaillir ma mélodie en rengaine
Et vibrent aussi mon être en tous ses ressorts.

Sa table d’harmonie assez fine et lustrée,
Permet un toucher musical et sensuel
Et, ses ondes sonores de façon rythmée,
M’élèvent vers son octave au huitième « Ciel ».



Le Poète-Artiste



Prince de SAINT-ALBY 1er

Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

LA MUSIQUE

Premier couplet

La musique est bien sans frontière,
Ses notes vont sans passeport
Dans tous les recoins de la terre,
Pour apporter leur réconfort ;

Mes amis, aimez le solfège,
Tenant la clef de tous les sons ;
Vous ferez de brillants arpèges,
Pour sortir de belles chansons !

Refrain

La musique est belle en ses notes,
Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do
Qui modulent dans les gavottes,
Do, Si, La, Sol, Fa, Mi, Ré, Do ;

La musique nymphe charnelle
Qui fait son Do, Si, Ré, Sol,Do,
Avec la douceur naturelle,
Quand La, Mi, Fa, La, Mi, Do, Do ;

Deuxième couplet

La musique rend les mœurs douces,
Permet l’émancipation
De certains hommes sans ressources
En pécule et d’instruction ;

La plupart de grands virtuoses,
Sortent du bas peuple au pays
Pour avoir l’existence en rose
Et respect symphonique acquis ;

Troisième couplet

La musique circule en ondes
Magnétiques des radios,
Pour donner la joie au monde
En nuances « dolcissimo » ;

Nos bons oiseaux et bestioles,
Nous entonnent de très beaux airs
Qui nous bercent en barcarolles
Et nous révèlent de beaux vers ;

Super Refrain

La mi si la ,do si ré sol,
Si do ré mi ,la mi si do ;
Si mi ré la , do si ré sol,
La mi fa la , la mi do do .


Mardi 1er Août 1989 à 18h.35
Chant numéro 25 du
Prince de SAINT-ALBY 1er