vendredi 25 octobre 2013

Contactez le CHU

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Prince de SAINT-ALBY 1er a dit…

Gervais SAINT-ALBY-HYEME Abymes, le 17 Octobre 2013
« Prince de Saint-Alby1er »
Poète-Artiste-Guitariste-Ecrivain
Cité Anquetil 2 Esc. 6 Appart. 84
97139 Les Abymes
Tél : 0590-20-81-76 Port. 0690-38-84-12
E-mail : princedestalby1er@yahoo.ca A

Objet : Débordement et attente insoutenable Mr Christian DELAVAQUERIE
à l’Urgence du (CHU…) Directeur du (CHU P-a-P –Abymes

Monsieur,

Je vous demande de bien vouloir lire attentivement ce qui suit :
Après une visite, le Mardi 15 Octobre dernier, chez mon médecin traitant, le Docteur Alain COLLIDOR à Grand-Camp que je n’avais vu depuis plus de cinq ans et ce, pour mes douleurs rhumatismales ankylosantes qui jetèrent leurs dévolus sur ma personne depuis le 3 Septembre dernier « en faisant leurs courses dans le Supermarché de mon organise », mon médecin traitant dis-je, après une sommaire auscultation, me donna une lettre pour les Médecins de la (Clinique des Eaux Claires) à Baie-Mahault afin de procéder à un bilan cardiaque et de mieux comprendre mon souffle au cœur, dû certainement de l’absorption de trop d’anti-inflammatoires pour calmer mes rhumatismes.
Le jeudi 17, comme susdit, je me rendis à cette Clinique avec l’aide de ma nièce Nathalie LACHAUSSEE. L’employée de service me fixa un rendez-vous avec un cardiologue, jusqu’au 20 décembre prochain, dans deux mois. Que fais-je ? Je décidai d’un commun accord avec ma nièce, d’aller tenter ma chance à l’Urgence du (CHU de P-à-P Abymes.) J’arrivai vers 9h45 à l’accueil de l’Urgence et je fus reçu presque tout de suite, par l’employé de service, un certain Jacques LABAN, fort sympathique et savait qui était le Prince de SAINT-ALBY 1er (…)
Cependant, quel diable me poussa à cet endroit médical le plus encombré de l’Hôpital ? Ce ne fut que vers 15 heures qu’une infirmière me fit appel et m’achemina vers un lit-brancard dans le couloir où fleurissent déjà une bonne trentaine du même genre, supportant de pauvres candidats en partance vers les étoiles du firmament. Mon sang ne fit qu’un tour et malgré mes dures souffrances ankylosantes, quand cette infirmière me tourna le dos pour se déployer à ses multiples tâches dans ce couloir « de trépassés …», je demandai à mon genou et aux autres points qui m’ankylosent : « Qu’ai-je mangé de bon et que je ne vous ai point donné ? » Je pris discrètement le chemin de la sortie et disparaître de la vue de mes « sympathiques bourreaux en puissance active… » Deux sympathiques agents de sécurité furent lancés à ma recherche et me trouvèrent vers le (SAMU). Ils me prièrent de regagner instamment l’intérieur où tout le monde m’attend pour les soins. Je leur fis comme réponse : « Si je retourne à cet endroit malheureux, c’est mon cadavre que vous aurez sur la conscience demain matin ! » Eh, ils disparurent devant moi, sans autre forme de procès (…)
Maintenant, je vous le dis en toute sincérité, les médecins, infirmières et autres professionnels de ce lieu misérable qu’est : l’Urgence de l’Hôpital, doivent pâtir de vrais traumatismes psychiques, à force d’évoluer dans ce lieu exigu et mal adapté à leur mission de guérir et de sauver des vies, je leur plain du fond du cœur. Les autorités compétentes doivent tout faire pour changer en profondeur l’image dégradante de Centre Hospitalier de Pointe-à-Pitre –Abymes, pour le bonheur des usagers tous azimuts. Dont acte.
Mes salutations amicales à vous tous et à bientôt !
Le Poète-Artiste (devant l’Eternel)
Prince de SAINT-LABY 1er